Oh hi! Bienvenue sur mon blog perso. If you're after my technical articles, please head this way.
On se lève encore plus tard que la veille et zappons proprement le petit déjeuner ce qui fout la cuisinière en rogne, car elle avait apparemment prévu de la bouffe pour dix (sauf que nous ben on avait prévu de dormir comme des gros sacs).
Le réveil est un peu rude mais nous sommes quand même quelques uns à descendre avant la fin du petit déjeuner. On nous sert de nouveau un Irish Breakfast (bacon saucisses oeufs tomates champignons flageolets boudin toasts - pas tout à fait vegan-friendly, comme je disais), un peu cheap mais ça fait le taf (puis c'est inclus dans le prix).
Je guette les écrans derrière le comptoir pour m'assurer que j'ai le temps de finir mon petit déj' avant la fin de l'embarquement. Je me trouve dans l'un des shops de la zone duty-free de l'aéroport de Stansted : il est un peu plus de 9h, je décolle pour Dublin dans moins d'une heure.
C'est un fait, je me rends de moins en moins à des concerts de métal. J'en écoute moins, aussi. Pas par perte d'intérêt ou d'envie je pense, mais plutôt la conséquence d'une plus grande place faite à d'autres styles musicaux.
Il est des fois où la force d'attraction du pub l'emporte sur la volonté d'en bouger pour se rendre à un concert. Le jour où je devais aller voir les Nordic Giants, il y a un an, fut l'une de ces fois.
Parfois dans la vie, il faut faire des choix. Thé ou café, pilule bleue ou pilule rouge, l'aile ou la cuisse. Mironton ou Barjabulle. Ou encore, aller voir The Ocean ou se rendre aux leaving drinks de ses potes.
Avant de prendre ma place pour le show des Darkstar, j'ignorais complètement où se trouvait l'Institut des Arts Contemporains, et encore plus qu'il abritait une salle de concert ce qui, après réflexion, n'est pas si déconnant.
Comme d'habitude, et sans que je ne me l'explique vraiment, les derniers mois de l'année sont particulièrement chargés en concerts et, notamment, sober October ne le fut définitivement pas en musique. Allez, vous reprendrez bien un peu de post-rock, d'electro-rock ou de jazz contemporain ?
Après la bonne surprise amenée la veille par les Son Lux et un set de qualité que je n'attendais pas spécialement, je me rends plein d'espoir aux Shapes pour le concert de Howling, duo s'étant initialement formé pour un one shot éponyme dont le succès inattendu les a finalement conduits à sortir tout un album, ce qui s'est avéré être une excellente idée.
La baisse de la température et la pluie qui s’est tapée l’incruste depuis quelques jours ont un peu entamé ma constitution, et je dois me faire violence pour lever mon séant du canapé et prendre le chemin du Village Underground où les Son Lux se produisent ce soir.