Phantogram au O2 Shepherd's Bush Empire (04/04/17)
16/04/2017 in LiveDans la série des duos qui ne sont pas deux, les new-yorkais de Phantogram ne sont pas en reste, puisqu'ils ne sont pas moins de quatre sur scène.
Dans la série des duos qui ne sont pas deux, les new-yorkais de Phantogram ne sont pas en reste, puisqu'ils ne sont pas moins de quatre sur scène.
Il y a au moins deux choses qui peuvent laisser un peu circonspect lorsqu'il s'agit des Sleigh Bells, un duo new-yorkais.
Après une tentative échouée de les voir il y a un an presque jour pour jour au Oslo (j'avais ma place et tout mais il me semble m'être fait traquenarder à coups de shots dans un autre pub), je suis cette fois-ci bien décidé à ne pas louper les Odezenne qui traversent une nouvelle fois la Manche pour poser leur hip hop alternatif au Hoxton Bar & Kitchen.
Quand on me demande ce qui me plait à Londres, je réponds souvent que l'un des aspects qui me séduisent le plus est la richesse de sa scène musicale - locale d'une part, mais aussi et surtout internationale.
Mercredi 9 novembre 2016 : le jour où un cinglé ouvertement raciste, sexiste, populiste (et plein d'autres trucs en -iste) fut élu à la tête de la première puissance mondiale.
En faisant la queue devant le Scala, je tente de me remémorer la dernière fois que j'ai mis les pieds dans le club de King's Cross, sans succès. J'y rejoins un pote pour voir Perturbator, une relativement récente addition à la mouvance synthwave, ce courant musical rétrofuturiste apparu il y a une dizaine d'années et dont College et Kavinsky font partie des fers de lance.
En me penchant sur la question, je suis parvenu à identifier deux avantages concernant la boue.
Il a plu quasiment toute la nuit mais mon petit bricolage à base de sacs poubelle et de scotch a tenu bon (hashtag WIN).
Le réveil a comme un petit goût amer, et ce n'est pas uniquement à cause des gin tonic que je me suis enfilé la veille : les yeux encore à moitié collés, une notification sur mon téléphone m'apprend que le Royaume-Uni souhaite quitter l'Union Européenne.
Dimanche 4 octobre, 8h55 : le nez collé à l'écran de mon portable, je rafraichis la page de la billetterie de Glastonbury toutes les cinq secondes, attendant fébrilement que la file d'attente virtuelle s'affiche à l'écran.